L’école de la chair

Critique n°3 : L’école de la chair, Yukio Mishima La joie furieuse que l’être aimé éprouve à se profaner peut atteindre des profondeurs insondables. Et l’être qui aime est condamné à suivre, entraîné dans une perpétuelle descente aux enfers. Étrange et perturbant roman que celui-ci. Encore maintenant, je ne sais pas trop quoi en penser. …

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